L’anxiété était simplement une facette de qui j’étais, parce qu’elle avait toujours fait partie de ma personnalité. Avec beaucoup d’étude et de dévouement, j’ai guéri mon anxiété. Je veux croire qu’en partageant mon expérience, je peux inspirer les autres à faire de même. Guérir l’anxiété est possible pour quiconque s’y consacre.

J’ai Guéri Mon Anxiété : Mon histoire

Les pensées anxieuses ont commencé dans mes premiers souvenirs d’enfance. Quand j’avais 5 ou 6 ans, je dormais et j’ai pensé que quelqu’un allait entrer par effraction dans ma maison. Si mon père était en voyage d’affaires, je regarderais dans un état anxieux l’horloge dans l’espoir qu’il revienne sain et sauf. Ma nervosité intérieure et les mes troubles a fait de moi un enfant réservée et timide, avec stress permanant. Lorsque les invités arrivaient, je me cachais littéralement sous les tables ou j’attrapais la jambe de ma mère. Le monde était un endroit terrifiant pour moi.

Bien sûr, maintenant je me rends compte que ma consommation incessante de crème glacée, de biscuits et d’aliments transformés était principalement une des causes pour mon état anxieux, mais parlons-en un peu plus.

J’ai acquis la capacité de transmuter ma peur. C’est devenu un outil positif et fonctionnel, semblable à celui de la majorité des gens qui réussissent dans la télé. J’étais brillant et possédais une grande capacité athlétique, j’aimais le sport mais le fait d’être avec d’autres enfants me provoquait une angoisse et me mettait dans un état anxieux. Je ne pouvais pas me laisser décompresser avant d’avoir fini tous mes devoirs. Ma chambre était impeccable, tout était carré, étant un enfant maniaque, chaque petit bout de papier qui dépassait me provoquait une angoisse.

Cependant, j’étais dans un état désastreux à l’intérieur, comme une angoisse qui m’envahissait chaque jour de la semaine, et ça je n’en parlais à personne… Je ne voulais pas infliger cette peur ou cette angoisse à ma famille, sachant qu’eux n’avaient pas vraiment connu l’anxiété.

Après avoir obtenu mon diplôme universitaire, j’ai déménagé à Paris pour mes études supérieures. C’était exactement La, le point qui a démultiplier mon anxiété. Ma poitrine se serait presque à chaque instant. Mon sommeil a été terrible. J’ai eu la chance de m’endormir, et si je le faisais, je ne resterais endormi que quelques heures avant de me réveiller, incapable de me rendormir, je fessait régulièrement une crise d’angoisse nocturne durant la nuit, je peux vous dire que à ce moment mon état anxieux étais a sons maximum…

J’avais quand même un bon GPA, car les études avaient longtemps été pour moi un moyen de réduire mon anxiété. Cependant, d’autres aspects de ma vie ont été affectés négativement, notamment mes relations personnelles et mon travail pendant mon stage. J’ai eu du mal à tenir le coup, alors je me suis tourné vers les fêtes pour mettre fin à ce que je ne pouvais pas contrôler, j’ai juste un stress permanant.

Au cours de ma deuxième année à Paris, j’ai soudainement appris que ma mère avait besoin d’une opération chirurgicale du cœur. Ma peur est montée à un niveau fiévreux. J’ai trop consommé et j’ai commencé à me droguer, mais j’ai justifié mon comportement en disant que c’était typique des étudiants. Quiconque a déjà tenté de dissimuler son anxiété aux autres sait que cela ne fait qu’aggraver le problème. J’ai passé la majeure partie de la semaine dans un schéma d’étude et de travail, de gueule de bois et de répétition. Il est difficile de comprendre que j’étais cet individu, mais je n’avais aucune connaissance supplémentaire. J’étais là, en vie, mais c’était comme si je n’étais finalement pas là. Je pense que cette réflexion, beaucoup d’anxieux l’ont. Je voulais juste que tout cela se finisse, guérir enfin, c’était tout ce que je demandais.

En fin de compte, j’ai vécu ma première crise d’angoisse, (Là, je ne vous raconte pas comment mon anxiété dans mon quotidien a augmenté.)

J’étais allongé sur mon lit en préparation pour rencontrer ma copine de l’époque. Mon cœur a commencé à battre dans ma poitrine, mes mains et mes pieds sont devenus complètement engourdis. J’ai essayé de contrôler mes émotions, mais j’ai échoué. Avant de m’en rendre compte, je respirais excessivement, c’était en réalité les première symptômes que j’ai eu à ce moment.

J’étais conscient d’avoir une crise de panique / angoisse , mais la poussée d’adrénaline était incompatible avec la pensée logique, j’essayais de me rassurer avec mes pensées, mais vraiment, il était IMPOSSIBLE de se contrôler rationnellement, quand on a une crise d’angoisse, le rationnel s’en va et nous laisse donc dans une anxiété permanente.

J’ai vraiment pensé à appeler le 17.

Mes mains tremblaient tellement que j’avais du mal à mettre mes chaussures avant d’aller à l’hôpital. J’ai cru que j’allais mourir et que c’était la fin pour moi, j’ai envoyé un dernier message à mes parent en leurs disant que je l’ai aimé…

Si vous avez déjà eu une crise d’angoisse, vous voulez seulement éviter d’en avoir une autre. Deux semaines plus tard, j’étais assis à côté d’un psychiatre qui m’a diagnostiqué un trouble d’angoisse et m’a donné deux ordonnances. L’un est un ISRS, l’autre est une benzodiazépine.

À l’époque, j’ai appris et suivi la théorie du “cerveau fracturé” de la psychologie conventionnelle. Les médicaments me semblaient nécessaires à l’époque pour vaincre ces troubles. Je me suis consacré à la pratique pendant 4 ans, en consommant chaque jour des médicaments. Je me suis convaincu que j’en aurais besoin toute ma vie.

Un jour, alors que je regardais excessivement YouTube, je suis tombé sur une vidéo du Dr Natasha Campbell McBride une youtubeuse américaine. Elle parlait de son livre « Gut and the Psychology Syndrome ». C’était la première fois que j’apprenais le microbiome et son association avec le comportement et les troubles que j’avais. On dit que lorsque l’élève est préparé, le professeur apparaît. J’étais prêt. Son travail a suscité en moi un désir compulsif d’apprendre qui a eu un effet profond sur ma perspective envers les clients et la façon dont j’ai interagi avec eux.

Je n’ai pas pu oublier ce que j’avais appris.

Après cela, j’ai terminé ma thèse et j’ai commencé à me consacrer au domaine. Car oui pour moi ce trouble est vraiment à prendre au sérieux. Pendant les 10 années d’études, je n’avais jamais entendu parler du sujet avant de l’apprendre par moi-même. Le microbiome, l’axe intestin-cerveau, les probiotiques et l’inflammation m’étaient tous inconnus. Tout à coup, j’ai appris que 70 % de la sérotonine est produite dans l’intestin et que les bactéries présentes dans l’intestin ont un effet significatif sur notre humeur. Décrire mon étonnement était un euphémisme.

J’ai acquis une nouvelle perspective que l’anxiété n’est pas une maladie, mais un symptôme qui provient d’un endroit différent, et qu’il faut corriger pour éradiquer cette anxiété. Pour vous remercier et pour vous donner un coup de main, je vous offre un guide gratuit comprenant mes années d’expériences et de techniques acquises. Ce guide comprend des illustrations, des exemples et d’autres informations précieuses. Pour le recevoir, il vous suffit de cliquer ici.

Anxiété physique et mentale

Je crois qu’il est crucial de faire la distinction entre l’anxiété physique et mentale. L’anxiété mentale est une réponse normale et adaptative au danger chez l’homme. C’est une réponse rapide au danger qui est principalement une réponse de combat ou de fuite qui nous a aidés à évoluer, ce qui est normal pour ça santé. Aujourd’hui, ce type d’anxiété présente des similitudes avec la nervosité avant une présentation ou la nervosité avant un rendez-vous. C’est concis, rapide et approprié à l’expérience, mon médecin m’a dit d’ailleurs que en petit dose, c’était normal.

Vient ensuite l’anxiété physique.

Nous l’appelons anxiété généralisée, trouble panique ou anxiété sociale. C’est un nœud dans le cœur, un essoufflement, de la transpiration et parfois une angoisse terrifiante, ce sont les symptômes les plus courant. C’est une maladie chronique qui peut survenir pendant des jours, des semaines ou des mois à la fois, sans explication claire sous forme de plusieurs crises. Alternativement, il existe une cause plus profonde à l’anxiété, mais les symptômes ne semblent pas être en corrélation avec la situation de santé de la personne en question.

Mon appréhension était les deux. Des pensées envahissent mon esprit et je ressens de la tension, de la vigilance et parfois un tremblement. Je ne pouvais pas lâcher prise. Les troubles était inégal, mais la présence était toujours présente. Parfois, c’était absent ou inexistant, et puis du coup, ça m’a donné envie de rester au lit toute la journée. C’est un trouble qui provoque des crises dévastateur. Vraiment je le souhaite à personne :/

Trouver la source du problème

Dans la tentative d’atténuer mon anxiété, j’ai consacré des mois à rechercher tout ce que je pouvais trouver sur le sujet. Ce qui m’a surpris, c’est le nombre de préoccupations qui s’apparentent à de l’anxiété. De nombreuses personnes ont un problème distinct avec lequel elles luttent, ce problème provoque de l’anxiété. L’anxiété est notre réel trouble d’angoisse douloureux à ramener l’attention sur le corps et l’esprit.

En enquêtant sur la cause du problème, nous avons la possibilité de trouver une thérapie adéquate et naturel.

La source de l’anxiété

Un déséquilibre glycémique et comment

Toute personne souffrant d’anxiété généralisée doit d’abord surveiller son taux de sucre dans le sang. Avec la croissance du diabète, l’anxiété est souvent ignorée dans ce contexte. Cependant, la différence entre l’instabilité de la glycémie et les symptômes d’anxiété est presque identique.

Anxiété liée à l’hypoglycémie

Le régime français est typiquement rempli de sucres et de glucides et c’est un cocktail fatal pour l’anxiété généralisée. Les fortes augmentations quotidiennes de la glycémie entraînent une alimentation constante et des symptômes anxieux et cela ne fait qu’augmenter les problèmes d’angoisses.

Deux des plus courantes sont l’hypoglycémie et la résistance à l’insuline.

En cas d’hypoglycémie, le taux de sucre dans le sang augmente considérablement, puis diminue de manière significative. L’hypoglycémie est le terme pour “manque de sucre”. Lorsque cela se produit, le cerveau et le corps paniquent parce que leur principale ressource (le sucre) pour l’énergie s’épuise.

Le cerveau consomme plus d’énergie que toute autre partie du corps. Il émet un appel de détresse aux glandes surrénales, qui libèrent du cortisol, l’hormone du stress. Le corps entre dans un état de combat ou de fuite.

Dans cet état, nous éprouvons des symptômes et des troubles comme l’anxiété, la panique, la peur, les tremblements et les étourdissements.

Dans cet exemple, il existe une corrélation entre le régime alimentaire qui provoque l’hypoglycémie et l’anxiété. Une femme de 15 ans s’inquiétait pour sa sécurité, ce qui a entraîné une anxiété grave qui s’est manifestée par une inquiétude excessive, des douleurs à l’estomac et un rythme cardiaque rapide qui l’a empêchée de fonctionner. Sa peur était si extrême qu’elle séchait régulièrement les cours.

Son diagnostic officiel était un trouble anxieux généralisé. Elle a donné à son anxiété une note de 8/10.

Son régime se composait des composants typiques du régime Français typique : riche en glucides et faible en gras. Elle dévorait des barres granola, des bagels, des jus, des pâtes et mangeait fréquemment. Lorsqu’elle a changé son alimentation pour une alimentation riche en protéines et en matières grasses, ses symptômes se sont améliorés à 4/10, elle avait plus d’énergie, moins de douleurs à l’estomac et une meilleure capacité de concentration.

Elle a déclaré que si elle reprenait sa thérapie alimentaire précédent, son anxiété reviendrait immédiatement et ça c’est un réel problème.

Anxiété causée par la résistance à l’insuline

Chaque fois que des glucides sont consommés, le corps les convertit en glucose lors de la digestion. Le glucose est libéré dans le sang, ce qui entraîne une augmentation de la glycémie. Le pancréas réagit en libérant de l’insuline afin de contrer le pic de glycémie. Si la glycémie est trop élevée, les cellules ne répondent plus à l’insuline. Le sucre supplémentaire dans le sang flotte constamment, provoquant une variété d’effets négatifs, dont le plus important est sur le cerveau.

La résistance à l’insuline modifie la production de neurotransmetteurs comme la dopamine et affecte la façon dont les neurones sont activés dans le cerveau et la façon dont les cellules cérébrales communiquent.

Une étude du Joslin Diabetes Center a démontré une association directe entre le cerveau et les problèmes de comportement et de panique, cette état ce déclare généralement durant une crise généralisée.

Carences en nutriments et anxiété

Lorsqu’une personne souffre d’anxiété, d’angoisse ou est anxieux, elle peut souffrir de troubles et de crises qui peuvent affecter leur vie quotidienne. L’anxiété généralisée, le stress et les crises de panique peuvent être causés par des problèmes de santé mentale qui doivent être diagnostiqués par un médecin. Les symptômes d’anxiété peuvent être atténués par une thérapie ou un traitement médicamenteux. La carence en nutriments peut également contribuer aux angoisses, c’est pourquoi une alimentation équilibrée est importante pour la santé mentale.

Voici quelques-uns:

Magnésium : un minéral qui facilite l’apparition de plus de 300 processus corporels. Le magnésium est essentiel au bon fonctionnement du système nerveux et à l’activité des neurotransmetteurs. Il est associé à la production de GABA, et de faibles niveaux contribuent à l’anxiété.

Zinc : Également crucial pour les neurotransmetteurs et le système nerveux central. La recherche a démontré que de faibles niveaux de zinc peuvent entraîner de l’anxiété (l’association). Il a été démontré que la supplémentation en zinc atténue les symptômes d’anxiété.

Vitamine D : Je préconise souvent la nécessité de la lumière du soleil pour le bien-être mental. La vitamine D est une hormone associée à presque toutes les parties du corps. Il est crucial pour le développement d’autres troubles psychiatriques, y compris l’anxiété. On estime que 85 % d’entre nous n’en consomment pas assez. C’est des proportions épidémiques, et c’est une source de préoccupation de passer du temps au soleil.

Fer : Le fer est essentiel à toutes les cellules du corps humain. Sa fonction est de transporter l’oxygène vers les différents organes du corps, c’est pourquoi une faible concentration de fer provoque fatigue et irritabilité. Le fer est crucial pour la synthèse de la sérotonine, ce qui peut provoquer de l’anxiété. Les personnes souffrant de troubles anxieux ont des taux de fer nettement inférieurs.

Acides gras oméga-3 : Malheureusement, on nous a dit d’éviter les graisses, et notre cerveau en a souffert. Les acides gras oméga-3 ne sont pas produits par le corps, ils doivent donc être consommés dans l’alimentation. La majeure partie du poids du cerveau est constituée de graisse et les oméga-3 sont nécessaires aux fonctions cognitives et au fonctionnement du système nerveux. Ceux qui sont le plus anxieux ont les plus faibles concentrations d’acides gras oméga-3.

Tous ses nutriments peuvent aider à réduire les symptômes d’anxiété. Il est important de surveiller sa santé mentale et de consulter un médecin en cas de problème pour guérir de ces angoisses et surtout se faire prescrire tous ses nutriments supplémentaire et se faire suivre.

Déséquilibres dans le microbiote.

Le déséquilibres dans le microbiote peuvent entraîner de l’anxiété, des angoisses, des symptômes de troubles anxieux généralisés et des crises de panique. Notre appareil digestif est peuplé de nombreux microorganismes qui peuvent affecter notre état d’esprit et notre humeur. Environ 70 % des neurotransmetteurs sont produits dans l’intestin et transmis au cerveau, formant ainsi un axe cerveau-intestin. Si les microorganismes sont en déséquilibre, cela peut causer différents troubles psychiatriques, allant de l’anxiété à la dépression.

Les scientifiques ont démontré un lien entre les microbes et des molécules spécifiques dans le cerveau, ce qui montre l’importance de la balance des microorganismes dans l’intestin pour la santé mentale. En cas de problème d’anxiété, il est important de consulter un médecin et de suivre une thérapie pour guérir les angoisses. La santé mentale et le microbiote devraient être pris en compte ensemble pour maintenir une vie saine.

Intolérance au gluten

Ce n’est que lorsque nous arrêtons de manger du gluten que nous réalisons la quantité de gluten que nous consommons quotidiennement. Les bagels et les pâtisseries sont la norme pour le petit-déjeuner, les sandwichs sont la norme pour le déjeuner et les pâtes sont la norme pour le dîner. La croyance populaire est que seules les personnes atteintes d’une maladie rare appelée maladie cœliaque ont des problèmes de gluten, mais il existe un phénomène que de nombreuses personnes ignorent, la sensibilité au gluten non cœliaque, qui peut entraîner des symptômes d’anxiété, d’angoisses et de troubles généralisés.

Nous n’avons aucune idée du nombre de personnes touchées par ce trouble, mais le corps peut devenir tolérant au gluten au fil du temps. Ce n’est qu’en suivant un régime qui élimine le gluten que les gens peuvent comprendre les effets de la protéine sur leur santé et leur bien-être. L’inflammation chronique causée par la sensibilité au gluten peut entraîner des symptômes d’anxiété, de stress, de peur, de panique, des crises d’angoisse et de crise de respiration.

Si vous n’êtes pas convaincu que le gluten peut causer des problèmes de santé mentale, cet article peut changer votre point de vue. Il démontre que la protéine gliadine contenue dans le gluten peut provoquer la production de zonuline, ce qui peut entraîner un “fuite intestinale”, facilitant l’entrée des toxines dans la circulation sanguine et déclenchant une réaction du système immunitaire.

Sommeil

J’ai pris au sérieux l’importance de l’hygiène du sommeil.

Pendant de nombreuses années, le sommeil n’était tout simplement pas une priorité pour moi. Je restais debout toute la nuit (parfois plus longtemps) tous les soirs, en sautant le bouton de répétition plusieurs fois avant de finalement me réveiller. Ce manque de sommeil a entraîné une série de troubles tels que la fatigue, le stress, l’anxiété, la panique, la peur, les symptômes de crises d’angoisse généralisées.

Je pourrais continuer à discuter de la fonction du sommeil dans la réparation du corps. Le principal phénomène surnaturel pendant le sommeil s’appelle l’autophagie. L’autophagie est considérée comme la contrepartie du corps au nettoyage de printemps. C’est à ce moment que toutes les cellules qui ont été endommagées et qui sont toxiques sont purgées et que de nouvelles cellules saines et de nouvelles connexions sont établies.

Je vous encourage à lire “Why We Sleep” de Matthew Walker. C’est une lecture passionnante qui vous donnera envie de privilégier le sommeil (lien). Je me couche actuellement à 21h30 tous les soirs. C’est d’abord étrange, mais l’augmentation de l’énergie est bénéfique pour ma vie et ma santé. J’ai également travaillé avec un médecin pour gérer mes troubles d’angoisse et mes symptômes d’anxiété à l’aide d’une thérapie et d’une respiration profonde. Finalement, j’ai réalisé que j’avais peu à signaler pendant ces heures et que je suis devenu un patient plus heureux et plus en santé.

Programmation inconsciente et gestion de l’anxiété

Les expériences vécues pendant l’enfance peuvent causer des symptômes d’anxiété, d’angoisse et de troubles de l’anxiété généralisée. Le stress, la panique et la peur peuvent également déclencher ces crises d’anxiété. Il est important de consulter un médecin si vous ressentez ces symptômes afin de déterminer le type de problème que vous avez et de trouver la meilleure solution pour le guérir.

Il est crucial de reconnaître que le cerveau est un organe extrêmement littéral et peut être influencé par les expériences de la vie. Notre cerveau est névrotiquement plastique, ce qui signifie qu’il peut être restructuré tout au long de notre vie grâce à l’utilisation de techniques telles que la thérapie, la respiration et les affirmations.

L’utilisation quotidienne d’affirmations peut aider à modifier les pensées

les comportements et les habitudes qui sont à l’origine des angoisses. Je recommande de faire des affirmations le matin, lorsque l’esprit est le plus alerte, mais cela peut varier d’une personne à l’autre. Pour que cela soit efficace, le corps doit également être impliqué en visualisant les sentiments qui accompagnent l’affirmation.

Voici une déclaration qui peut aider à soulager l’anxiété :

• Je prends quelques respirations profondes.

• Je dis à mon corps de se détendre complètement.

• Je me concentre sur mon ressenti.

• Je vis cette affirmation avec mon corps et mon esprit.

• Je suis calme et en paix en toutes circonstances.

Il est important de ne pas être découragé si cela prend du temps pour voir des résultats. La pratique régulière est la clé pour créer de nouvelles voies dans l’esprit et améliorer la santé mentale.

En conclusion, je tiens à souligner que les personnes souffrant d’anxiété peuvent surmonter leur problème. Vous êtes puissant, capable et complet. Avec la thérapie, la respiration et les affirmations, vous pouvez retrouver une vie paisible et en harmonie.